Tous nos bébés, peu importe le sexe ou la couleur, sont donc affichés à 1600 euros (un bleu ne coûte pas plus cher à élever qu'un tricolore, une femelle n'a pas plus de "valeur" qu'un mâle... leur amour inconditionnel pour leur maître, quelque soit le genre ou la couleur, est identique et sans mesure).
Le prix, comment le justifier ?
Au délà du prix de nos reproducteurs, de leurs soins vétérinaires et alimentaires, des tests génétiques de santé et ADN, des jouets et friandises, des tarifs de la paperasse pour les inscriptions au LOF qui ne cessent d'augmenter, des taxes et des impôts de plus en plus conséquents, des frais de saillies, des frais de route, d'eau, d'électricité, de produits d'entretien en tous genres, de gasoil pour les allers retours afin de les amener en extérieur pour leur socialisation, des corpocultures que je réalise sur chaque bébé avant son départ de la maison pour m'assurer qu'il arrive sain de quelconque parasites dans sa nouvelle famille, du fait qu'éleveur reste un métier bien que ce soit souvent oublié et que tout métier mérite salaire, il est important de faire quelques rappels :
- Les nombreuses nuits blanches passées aux côtés de nos mamans en mise-bas puis à la surveillance et démarrage des chiots. Parfois du biberonnage (toutes les 2h jours et nuits).
- Les vacances qui ne sont pour nous plus qu'un therme flou, inaccessibles, laissées au profit de la mise en route de vos petits compagnons de vie.
- Les nombreuses heures passées à s'occuper de vos bébés, à les soigner, les manipuler, et pour ma part à les sortir pour les socialiser au délà des murs de notre foyer.
- Les heures de nettoyage et de désinfection, la part la plus ingrate du métier, sachant que tout le monde vit à la maison et que l'entretien est donc plus conséquent.
- Le temps passé avec les familles sans compter, souvent négligé, qui représente pourtant une grosse part de notre travail.
De plus, ici pas de kiki sur zezette, nous prenons soin de sélectionner nos reproducteurs pour produire de la qualité plutôt que de la quantité (car produire, tout le monde en est capable, mais il y a une différence notable entre simple naisseur et sélectionneur). Nous tenons à faire naître du beau Shetland avec de jolis papiers, de chouettes caractères et en pleine santé, tout rentre en considération à chaque mariage que nous réalisons.
Le prix n'est pas le prix du chiot, car j'ai du mal avec cette conception de donner une valeur à la vie, mais le fruit du passionnant mais dur labeur que représente l'élevage d'une portée quand on y porte l'investissement et l'amour qu'elle mérite et qu'elle ne reste pas au fond d'un chenil en attendant l'encaissement...
Paiement en plusieurs fois possible ?
Le chiot ne quitte pas l'élevage s'il n'est pas intégralement payé au moment du départ. Mais comme il faut deux mois pour qu'il soit apte à quitter sa maman et sa fratrie, ça vous laisse le temps de régler le solde en plusieurs fois. Exemple sur une portée née le 5 février :
- arrhes à la réservation de 600 euros en février
- premier versement de 500 euros en mars
- dernier versement de 500 euros au départ du chiot au mois d'avril
Le prix, comment le justifier ?
Au délà du prix de nos reproducteurs, de leurs soins vétérinaires et alimentaires, des tests génétiques de santé et ADN, des jouets et friandises, des tarifs de la paperasse pour les inscriptions au LOF qui ne cessent d'augmenter, des taxes et des impôts de plus en plus conséquents, des frais de saillies, des frais de route, d'eau, d'électricité, de produits d'entretien en tous genres, de gasoil pour les allers retours afin de les amener en extérieur pour leur socialisation, des corpocultures que je réalise sur chaque bébé avant son départ de la maison pour m'assurer qu'il arrive sain de quelconque parasites dans sa nouvelle famille, du fait qu'éleveur reste un métier bien que ce soit souvent oublié et que tout métier mérite salaire, il est important de faire quelques rappels :
- Les nombreuses nuits blanches passées aux côtés de nos mamans en mise-bas puis à la surveillance et démarrage des chiots. Parfois du biberonnage (toutes les 2h jours et nuits).
- Les vacances qui ne sont pour nous plus qu'un therme flou, inaccessibles, laissées au profit de la mise en route de vos petits compagnons de vie.
- Les nombreuses heures passées à s'occuper de vos bébés, à les soigner, les manipuler, et pour ma part à les sortir pour les socialiser au délà des murs de notre foyer.
- Les heures de nettoyage et de désinfection, la part la plus ingrate du métier, sachant que tout le monde vit à la maison et que l'entretien est donc plus conséquent.
- Le temps passé avec les familles sans compter, souvent négligé, qui représente pourtant une grosse part de notre travail.
De plus, ici pas de kiki sur zezette, nous prenons soin de sélectionner nos reproducteurs pour produire de la qualité plutôt que de la quantité (car produire, tout le monde en est capable, mais il y a une différence notable entre simple naisseur et sélectionneur). Nous tenons à faire naître du beau Shetland avec de jolis papiers, de chouettes caractères et en pleine santé, tout rentre en considération à chaque mariage que nous réalisons.
Le prix n'est pas le prix du chiot, car j'ai du mal avec cette conception de donner une valeur à la vie, mais le fruit du passionnant mais dur labeur que représente l'élevage d'une portée quand on y porte l'investissement et l'amour qu'elle mérite et qu'elle ne reste pas au fond d'un chenil en attendant l'encaissement...
Paiement en plusieurs fois possible ?
Le chiot ne quitte pas l'élevage s'il n'est pas intégralement payé au moment du départ. Mais comme il faut deux mois pour qu'il soit apte à quitter sa maman et sa fratrie, ça vous laisse le temps de régler le solde en plusieurs fois. Exemple sur une portée née le 5 février :
- arrhes à la réservation de 600 euros en février
- premier versement de 500 euros en mars
- dernier versement de 500 euros au départ du chiot au mois d'avril